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Entretien avec Bruno Mantovani, compositeur

Entretien Par Lou Madjar, le 31/10/2014

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Compagnon de route de l’Ensemble intercontemporain, Bruno Mantovani revient pour nous sur son cheminement esthétique, sa passion pour Schumann et sa relation à nos solistes, à l’occasion de la création de Carnaval, nouveau trio pour clarinette, violoncelle et piano qui sera créé au Wigmore Hall de Londres le 11 novembre 2014.
Le trio pour clarinette, violoncelle et piano que l’Ensemble intercontemporain vous a commandé et qu’il créera en novembre s’intitule Carnaval : en 2003, vous rendiez hommage à Schumann dans votre Concerto pour violoncelle. Y faites-vous à nouveau référence ici, avec ce trio très brahmsien dans son effectif ?

 
Votre compagnonnage avec l’Ensemble intercontemporain est depuis longtemps très étroit : comment envisagez-vous le travail avec les solistes de l’ensemble ? Comment écrivez-vous pour eux ? Y a-t-il certains aspects de leur jeu sur lesquels vous aimez mettre l’accent ?

 
Vous aurez bientôt quarante ans, et donc presque 20 ans de carrière de compositeur derrière vous : vous posez-vous la question du cheminement esthétique déjà parcouru et de celui restant à parcourir ?  

 
Vous êtes compositeur, chef d’orchestre, directeur du Conservatoire de Paris  et, depuis la rentrée, producteur à France Musique : comment conciliez-vous toutes ces activités ?

 
Photo : (c) Franck Ferville