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De Profundis de Sofia Gubaidulina. Éclairage« Un monstre qui respire ». C’est ainsi que l’accordéoniste Vincent Gailly, définit spontanément le bayan, instrument choisi par la compositrice russe Sofia Gubaidulina pour "De Profundis", une œuvre de 1978 qui sera jouée vendredi 18 mars à la Cité de la musique. Explications du musicien qui nourrit une insatiable curiosité pour le répertoire contemporain de l’accordéon.
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Tetras de Iannis Xenakis. Éclairage« Une sorte d’animal préhistorique, énorme et robuste. » C’est l’image qui vient à l’esprit de la violoniste Jeanne-Marie Conquer pour évoquer Tetras, saisissant quatuor à cordes de Iannis Xenakis qui sera joué dimanche prochain dans les espaces du Musée de la musique. Voilà qui méritait bien quelques explications…
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Fabrique d’Artéfact Éclairage"Artéfact", c’est le titre de la nouvelle œuvre pour grand ensemble de Vincent David, qui sera créée par l’Ensemble intercontemporain le lundi 7 mars à la Cité de la musique dans le cadre du Grand Prix Lycéen des Compositeurs, dont il est le lauréat 2021. Le compositeur et saxophoniste revient sur l’origine et les différentes étapes de cette création dans cette mini série audio.
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Boston intercontemporain. ÉclairageLe chef d’orchestre Vimbayi Kaziboni est également professeur de musique contemporaine au prestigieux Boston Conservatory at Berklee. Son projet d’inviter des solistes de l’Ensemble intercontemporain à Boston dans le cadre du New Music Festival se réalise enfin cette année après deux années mouvementées. L'ancien chef assistant de l'EIC nous éclaire sur l’objectif et le programme de cette académie enrichie de concerts qui se déroulera du 22 au 26 février.
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Le “Trio pour violon, cor et piano” de György Ligeti. ÉclairageLe 8 février prochain au Théâtre du Châtelet, Jean-Christophe Vervoitte sera l’un des trois solistes du "Trio pour violon, cor et piano" de György Ligeti. Le corniste de l’EIC se souvient avec émotion se sa rencontre avec le compositeur un jour de printemps 2002 à Hambourg…
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Wolfgang Rihm : “Tutuguri”. ÉclairageLe 17 janvier, la Philharmonie de Paris sera le théâtre d’un concert hors normes comprenant une seule œuvre, le titanesque et tellurique Tutuguri de Wolfgang Rihm. L’inclassable compositeur allemand revient sur l’origine, poétique, de ce cycle rarement joué en intégralité.
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Metallics de Yan Maresz. ÉclairageLe 3 décembre à la Cité de la musique, Lucas Lipari Mayer sera l’interprète soliste de « Mettalics » du compositeur français Yan Maresz. Un classique du répertoire contemporain pour trompette et électronique aux multiples dimensions.
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Avant-gardes américaines. ÉclairageLe 6 novembre à la Philharmonie de Paris, les solistes de l’Ensemble intercontemporain retrouveront ceux de l’Orchestre de Paris pour le concert Mécanique des cordes avec, au programme, cinq pionniers des musiques de création aux États-Unis. John Stulz, altiste à l’EIC, livre son éclairage sur ce programme original qu’il a lui-même conçu…
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Harlequin de Karlheinz Stockhausen. Éclairage"Harlequin" de Karlheinz Stockhausen est une pièce aussi musicale que théâtrale. Elle sera jouée (dans tous les sens du terme) le 13 novembre à la Cité de la musique par le clarinettiste Martin Adámek qui se fera aussi danseur et même un peu comédien pour l’occasion.
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Rituels ÉclairageLe chef d’orchestre Pierre Bleuse livre son éclairage sur les œuvres de James Dillon et de Liza Lim, au programme du concert "Rituels" du 6 octobre à la Cité de la musique.
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Intérieur. ÉclairageCompositeur de la musique d’Intérieur, nouveau spectacle mis en scène par Silvia Costa qui sera présenté au Théâtre du Châtelet les 22 et 23 octobre, Joan Magrané Figuera revient sur l’origine d'une production aux multiples dimensions.
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Monologue pour une araignée mécanique ÉclairageSamedi prochain, à la Cité de la musique, Nicolas Crosse sera, dans le cadre de la Nuit blanche à Paris, l’interprète d’une œuvre hors du commun, "Monologue pour une araignée mécanique II", du compositeur colombien Marco Suárez-Cifuentes. Le contrebassiste de l’EIC, habitué des performances les plus atypiques, nous éclaire sur ce surprenant monologue arachnéen…