Avec trois concerts à la cité de la musique et un atelier au Musée d’Orsay, l’ouverture de la saison 98-99 fait une large place à Pierre Boulez, dont l’œuvre fut très tôt marquée par la poésie – et particulièrement celle de Char, de Michaux, de Mallarmé et de Cummings. Il nous fait partager ici quelques-unes de ces rencontres essentielles et fertiles.