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Seul en scène, plongé dans l’obscurité, un squelette de lumière se fraie un chemin dans une gigantesque toile d’araignée, dont chaque fil, tendu dans l’espace et s’illuminant à l’envi, semble une corde prête à vibrer et à résonner. Conçu avec et pour Nicolas Crosse, qui délaisse pour l’occasion sa contrebasse pour endosser le costume de performer arachnéen, Monologue pour une araignée mécanique est un « diptyque » transdisciplinaire. Fruit de la collaboration du plasticien Nieto et du compositeur Marco Suárez-Cifuentes, ce spectacle tout à la fois chorégraphique, visuel et musical, se joue de nos perceptions, aussi bien visuelles qu’acoustiques grâce aux traitements informatiques. Réalisés à l’Ircam, ceux-ci soulignent en temps réel la poétique de chaque geste de l’interprète, en lien avec la géométrie de ce véritable « orgue à cordes ».

 

Distribution
  • Nicolas Crosse instrument
    Nieto mise en scène et dispositif visuel
    Marco Suárez-Cifuentes composition, design et mise en espace du dispositif instrumental
    Jean-Pierre Créhan réalisation du dispositif instrumental

  • Coproduction Ensemble intercontemporain, Philharmonie de Paris

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