Pour ce deuxième concert de la saison à l’Elbphilharmonie, véritable cathédrale dédiée à la musique sur les bords de l’Elbe, l’Ensemble intercontemporain rend hommage à György Ligeti, qui vécut pendant plus de trente ans à Hambourg. Au menu, deux œuvres emblématiques : le Concerto pour piano, kaléidoscope rythmique jubilatoire inspiré de polyrythmies africaines et le Concerto de chambre, à propos duquel il dira « Je veux un certain ordre, mais un ordre un peu désordonné ». Entourant Ligeti, on retrouve son ancienne disciple Unsuk Chin, qui fait revivre dans Gougalon les théâtres de rue coréens de son enfance, ainsi que le Serbe Marko Nikodijevic, compositeur en résidence à l’Elbphilharmonie et compagnon de route de l’EIC : dans sa music box, il brosse son propre autoportrait en compagnie de Ligeti (mais aussi de Stravinsky et de Messiaen), avec un clin d’œil aux « petites mécaniques » rythmiques du maître des lieux.
Distribution-
Sébastien Vichard piano
Ensemble intercontemporain
Matthias Pintscher direction
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L’édito vidéo de Matthias Pintscher : les concertos de György Ligeti. Édito
Le 10 mai 2019 à la Philharmonie de Paris l’Ensemble intercontemporain jouera quatre concertos de Gÿorgy Ligeti au cours de la même soirée. Un concert événement que présente Matthias Pintscher dans son édito vidéo de mai.
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György Ligeti : Concerto pour piano et orchestre Éclairage
C’est un événement musical rare. Le 10 mai à la Philharmonie de Paris l’Ensemble intercontemporain proposera, pour la première fois de son histoire, l’intégrale des concertos de Gÿorgy Ligeti au cours d’une même soirée. Du Concerto pour piano et orchestrele compositeur hongrois disait qu’il avait été « le produit de nouvelles conceptions harmoniques et rythmiques ». Explications par Pierre-Yves Macé dans cet article illustré de nombreux extraits musicaux.
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Victor Hanna, percussionniste, présente « Gougalon » d’Unsuk Chin. Éclairage
Pour Gougalon, la compositrice sud-coréenne Unsuk Chin s’est inspirée des spectacles de rue à Hong-Kong. Pour Victor Hanna, percussionniste, « c’est un spectacle total pendant lequel il est impossible de s’ennuyer une seule seconde ». Il nous en dit plus sur son coup de cœur pour cette œuvre.
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Unsuk Chin parle d'Unsuk Chin. Reportage
Le 27 novembre 2015, l’Ensemble intercontemporain se joindra aux célébrations de l’Année France-Corée 2015-2016 en dressant un portrait musical haut en couleurs de la compositrice coréenne Unsuk Chin. Son éditeur Boosey & Hawkes lui a récemment consacré un documentaire qui retrace son extraordinaire parcours de l'enfance en Corée à l'Allemagne où elle vit encore aujourd'hui.
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Le « Concerto de Chambre » de György Ligeti. Éclairage