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En 1965, l’une des créations des plus aboutie et raffinée du compositeur italien Giacinto Scelsi voit le jour, un chef-d’œuvre appelé Anahit d’après le nom égyptien de la déesse Vénus à qui la pièce est dédiée. Composée pour violon et orchestre de chambre, Anahit est la seule pièce concertante de Scelsi même s’il ne s’agit pas d’un concerto traditionnel mais plutôt d’un poème où le violon façonne le son. Michaël Ertzscheid, musicologue, présente cette œuvre empreinte de mystère qui sera jouée dans le cadre de la soirée « In Between » le vendredi 12 avril à la Philharmonie de Paris.

Distribution
  • Ensemble intercontemporain
    Matthias Pintscher direction
    Michaël Ertzscheid présentation

Médias